Le Cardinal Gracias a reçu les délégués du CID à Mumbai
Les délégués du CID ont visité le centre sociale dans les bidonvilles de Mumbai.
Ce sont des Religieuses, des travailleurs sociaux et des diacres qui travaillent la main dans la main dans les services sociaux pour le bénéfice de la population locale, dDans l’un des centres où les femmes gagnent par la couture un moyen de subsistance pour leurs familles. Maintenant, ils fabriquent aussi des étoles pour les diacres.
Le Cardinal en conversation avec Erik Thouet
C’est avec joie que le cardinal Gracias, archevêque du diocèse de Mumbai, a reçu les délégués du CID, qui venaient de toutes les parties du monde. Le cardinal a parlé de l’Eglise de l’Inde qui est confrontée en permanence aux défis du dialogue interreligieux. Ètant une petite minorité, l’Eglise catholique attire principalement à travers l’engagement social et l’esprit communautaire dans les_communautés locales_. Les délégués étaient impressionnés de l’engagement de l’Eglise dans les Social Community Centers, où par des religieuses, des travailleurs sociaux et des premiers diacres de l’Inde en particulier les soins de santé sont dispensés. Avec une grande affection, les délégués ont été reçus et on leur a présenté à le travail. Les conditions difficiles de vie dans les bidonvilles sont exacerbés par la violence et l’alcoolisme.
Un intérêt particulier était l‘échange avec les premiers diacres de l’Inde, qui sont fortement impliqués dans le domaine social et le projet Health Promotion Trust du diocèse de Mumbai. Pour les quatre années de formation, ils ont négligé leur profession. Maintenant, ils se voient comme le représentant des pauvres, sera aussi contribuer à leur collectivité et prendre des responsabilités en matière de soins de santé.
Besonderes Interesse fand der Austausch mit den ersten Diakonen Indiens, die sich stark im sozialen Bereich engagieren und sich dem Projekt Health Promotion Trust der Diözese Mumbai verschrieben haben. Für ihre vierjährige Ausbildung haben sie ihren Beruf zurückgestellt. Jetzt sehen sie sich als Stellvertreter der Armen, bringen sich in ihren Gemeinden ein und übernehmen Aufgaben in der Gesundheitsvorsorge.